Dur dur de faire comprendre ou d’expliquer à la communauté amoureuse, à la société et à la civilisation nouvelle que les hommes et les femmes n’obéissent pas aux mêmes règles endocrinologiques et génétiques.

Pourquoi les hommes ne pensent qu’à ça? Que cela déplaisent les femmes – des nombreuses études scientifiques démontrent que la biologie et la génétique jouent un rôle clef dans le comportement sexuel au masculin.

Les femmes veulent d’abord des liens affectifs (l’attachement), ensuite des liens sociaux (vie à deux) et enfin des rapports intimes (sexe, sexualité, procréation).

Les hommes quant à eux veulent tous d’abord du sexe puis des liens affectifs et enfin sociaux. Ce décalage de base existant entre les femmes et les hommes seraient en faite sujet aux prédispositions biologiques et génétiques de l’être animal supérieur.

D’après de nombreux (ses) naturalistes, astrophysiciens, créationnistes, évolutionnistes, scientifiques, anthropologues, psychanalystes, psychologues, sociologues et philosophes – Il existerait des comportements amoureux et sexuels spécifiques différenciant l’homme et la femme.

Ce décalage d’interprétation amoureuse ou sexuelle existe bel et bien entre l’homme et la femme. En effet, les femmes veulent d’abord des liens affectifs (l’attachement), ensuite les liens sociaux (vie à deux) et enfin des rapports intimes (sexe, sexualité).

Les hommes quant à eux veulent tous d’abord du sexe puis des liens affectifs et enfin sociaux. Ce décalage de base existant entre les femmes et les hommes seraient en faite sujet aux prédispositions biologiques et génétique de l’être vivant animal supérieur.

En effet, la biologie et la génétique commandent les prédispositions affectives, sociales, amoureuses et sexuelles de la femme – cette dernière obéit et se comporte de manière prédisposée au déterminisme naturel.

On ne peut parler de relation amoureuse ou de sexualité de la femme que pour un être qui s’est affranchi du déterminisme naturel.

Pour être amoureuse, on doit choisir d’aimer ou de ne pas faire faire . Seul donc l’âme sœur qui s’est débarrassée de la tyrannie des instincts amoureux peut remplir les conditions minimales de l’accès aux relations amoureuses et de la liberté amoureuse.

C’est justement là le rôle de l’éducation amoureuse ou sexuelle : elle a pour but premier de discipliner la tyrannie des instincts possessifs amoureux, c’est-à-dire de la réduire au silence pour que l’âme sœur ne se contente pas d’obéir à ce que sa nature amoureuse commande.

S’il suffisait d’obéir à la tyrannie des instincts amoureux pour être amoureux, alors les sujets d’une tyrannie amoureuse connaîtraient jamais l’amour, la sexualité, le plaisir au féminin et la liberté d’être amoureux et ou vivre pleinement sa sexualité.

La seule solution à ce problème existentialiste et hédoniste amoureux, c’est que je sois moi aussi l’auteur et victime des embrouilles auxquelles je me soumets.

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