Femme, mademoiselle ou madame amoureuse ou coquine: veux-tu coucher avec moi ce soir, maintenant ou jamais? – certainement pas !!! Et pourquoi? Parce-que c’est l’instant câlin ou la saison des amours, non? Non merci Monsieur !!!

Et pourquoi? Parce que je ne te connait pas. Il me faut donc du temps nécessaire pour te connaitre d’avantage et pouvoir s’apparier.

Mais rassure-toi, une fois que j’ai la certitude relative sur toi – je ne manquerai pas un seul instant de coucher à toi. Quoi d’autres?

Oui, les mâles animaux ou les hommes ne pensent qu’à ça? que cela déplaisent les femelles et les femmes – des nombreuses études scientifiques démontrent que la biologie et la génétique jouent le rôle clef dans le comportement sexuel au masculin (anthropologie masculine, gènes, neurotransmetteurs et circuits neuronaux spécifiques, chromosome Y, hormones, stéroïdes, minéralocorticoïdes, glucocorticoïdes, cathecolamines spécifiques, protéines G trimériques, endorphines, phéromones, etc).

Les femelles et les femmes – elles veulent d’abord des liens affectifs (l’attachement), ensuite des liens sociaux (vie à deux) et enfin des rapports intimes (sexe, sexualité).

Les mâles et les hommes quant à eux – ils veulent tous d’abord du sexe puis des liens affectifs et enfin sociaux. Ce décalage de base existant entre les femelles ou femmes et les mâles ou hommes seraient en faite sujet aux prédispositions biologiques et génétiques de l’être animal supérieur.

D’après de nombreux (ses) naturalistes, astrophysiciens, créationnistes, évolutionnistes, scientifiques, anthropologues, psychanalystes, psychologues, sociologues et philosophes – Il existerait des comportements amoureux et sexuels spécifiques différenciant l’homme et la femme.

Elles traduiraient en effet, le décalage d’interprétation amoureuse ou sexuelle existant entre l’homme et la femme. En effet, Les femelles et les femmes – elles veulent d’abord des liens affectifs (l’attachement), ensuite des liens sociaux (vie à deux) et enfin des rapports intimes (sexe, sexualité).

Les mâles et les hommes quant à eux – ils veulent tous d’abord du sexe puis des liens affectifs et enfin sociaux. Ce décalage de base existant entre les femelles ou femmes et les mâles ou hommes seraient en faite sujet aux prédispositions biologiques et génétique de l’être vivant animal supérieur.

En effet la biologie et la génétique commandent les prédispositions affectives, sociales, amoureuses et sexuelles de la femme – cette dernière obéit et se comporte de manière prédisposée au déterminisme naturel.

On ne peut parler de relation amoureuse ou de sexualité de la femme que pour un être qui s’est affranchi du déterminisme naturel.

Pour être amoureuse, la femme doit choisir de faire l’amour ou de ne pas faire faire . Seul donc la femme qui s’est débarrassé de la tyrannie des instincts peut remplir les conditions minimales de l’accès aux relations amoureuses et à la liberté de s’envoyer où quand je veux.

Le fondateur de seleo.fr soutient que c’est précisément là le rôle de l’éducation amoureuse ou sexuelle : elle a pour but premier de discipliner l’anthropologie, la biologie et la génétique de femme, c’est-à-dire de les réduire au silence pour que la femme ne se contente pas d’obéir à ce que sa nature commande.

S’il suffisait d’obéir aux instincts féminins pour être femme, alors les femmes d’une tyrannie traditionnelle ou cultuelle connaîtraient jamais l’amour, la sexualité, le plaisir au féminin et la liberté d’être amoureux et ou vivre pleinement sa sexualité.

La seule solution à ce problème existentialiste et hédoniste, c’est que je sois moi aussi l’auteur et victime de la loi anthropologique, biologique, culturelle, cultuelle et morale à laquelle je me soumets.

En savoir plus inscrivez-vous dans www.seleo.fr – et participer aux groupes: pourquoi les mâles animaux ou les hommes ne pensent qu’à ça?

Vous êtes près de 1817 profils masculins et 1145 profils féminins participant à ce groupe de parole libre dans votre site de rencontre !

Oui, l’inégalité entre couche sociale, tradition, culture, société et civilisation n’est pas fondée sur la nature – elle réside dans l’éducation ou l’information qu’on donne à l’individu ou plutôt dans celle qu’on lui refuse.

Ceci est un cas de prise de conscience universelle au niveau philosophique, politique, économique, social, culturel, environnemental et sociétal !

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