Philosophie – n’en déplaise à personne, il semble aujourd’hui admis que la rupture amoureuse (affective) ou le chagrin d’amour affecte plus les femmes que les hommes.
En effet, de nombreuses études démontrent que la génétique et la biologie contribuent largement à expliquer le cerveau des émotions et les hormones sexuelles féminines qui auraient leur part de responsabilité.
Présumé coupable: le système limbique ou cerveau des émotions des femmes ; les hormones féminines: œstrogènes, progestérones, ocytocine, phénylalanines, etc ainsi que les taux élevés d’endorphines constatés chez la femme justifieraient la sensibilité féminine aux émotions.
Le cerveau des hommes gère les émotions moins intensément que celui des femmes. Le cerveau émotionnel ou affectif des femmes est génétiquement programmé pour la construction sociale que pour la de-construction sans justification. Résultat: pour une rupture amoureuse similaire, les femmes souffrent davantage.
Le circuit des émotions déplaisantes liées à l’attachement et aux relations affectives est plus intensément impliqué chez les femmes que chez les hommes. Autrement dit, la structure du cerveau est différente, d’où la différence de sensibilité émotionnelle et ou affective entre les deux sexes.
Des prédispositions génétiques sont à étudier au cas échéant sur une lignée affective ou familiale féminine.
Mots – clé: femme, émotions, sexualité, sentiments, relations sociales, famille, couple, endorphines, hormones, phéromones, ocytocine, hormones sexuelles, grossesse, amour maternel, accouchement, procréation, instinct maternel, maternité, mère, parent, lignée individuelle, lignée familiale, anthropologie, dimorphisme sexuel, dimorphisme émotionnel ou affectif, philosophie, la raison, la conscience, inconscient, le subconscient, psychologie, psychanalyse, relations sociales, culture, société, civilisation, amour, lien social, génétique, biologie, neurosciences, évolution, sentiments…
Les endorphines commandent, le chagrin d’amour obéit !
“Ce n’est pas à cause de l’attraction terrestre que des gens tombent amoureux ” (Albert Einstein, physicien américain d’origine allemand, 1879-1955).
Les endorphines sont des opiacés endogènes, c’est-à-dire produites par notre sympathique cerveau, et sont précisément secrétés dans le système limbique (cerveau affectif, des émotions, de la formation de la mémoire et de notre comportement en société).
De l’héroïne en libre accès ! Et sans ses effets dévastateurs.
Les endorphines ont des effets euphorisant, anxiolytique, de renforcement positif du système de récompense, d’atténuation de la douleur (chagrin d’amour)…
Mais au bout d’un certain temps, le cerveau s’habitue aux décharges répétées d’endorphines. Ce n’est alors qu’une question de temps, les amours les plus fous deviennent doucement plus sages.
Celui qu’on appelait trois fois par jour rien que pour entendre sa voix, nous tape sur les nerfs s’il passe deux jours consécutifs à la maison.
Par contre, s’il y a rupture dans la période la plus forte de dépendance, il y a un sevrage brutal qui peut causer une douleur physique véritable (le chagrin d’amour), un peu comme le sevrage d’un toxicomane (lieu ou salle de shoot amoureux).
Mais il existe désormais des moyens plus modernes permettant à chacun de produire et de mieux gérer en libre service son taux d’endorphines dans le temps.
Il existe par ailleurs les moyens de varier la production d’endorphines – il faut s’inscrire tout simplement sur seleo.fr !
Comment s’inscrire ?
La procédure d’inscription est très simple, elle se déroule en 4 étapes et ne prend que quelques minutes.
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