Nous sommes le monde. Nous changer revient donc déjà à changer une partie du monde, certes infirme mais existante. Gandhi a dit « Soyez le changement que vous voulez voir en ce monde. »
Si nous n’habitons pas notre vie et n’incarnons pas ce changement au quotidien, c’est le monde qui nous changera et non nous qui changerons le monde.
Se changer, cela commence par prendre soin de soi en aiguisant nos capacités de conscience, de sagesse et d’empathie. En dégradant la nature, c’est nous-mêmes que nous dégradons. En nous éloignant de la nature, c’est de nous-mêmes que nous nous éloignons. L’impasse générale dans laquelle nous nous trouvons est douloureuse, mais elle peut être fertile, à condition que n’attendions pas trop.
Se libérer d’une société aliénante. Il est fondamental de s’occuper de soi-même non par nombrilisme ou par égoïsme, mais pour protéger et restaurer ce qui fait notre humanité : notre intériorité.
Plus une société ou un individu sont matérialistes, plus ils s’éloignent du bonheur. Ainsi, le fait d’être confrontés à l’argent nous rend moins solidaires et nous éloigne des autres.
Des chercheurs ont montré que notre bien-être ne dépendait pas seulement de notre activité, mais aussi du fait que nous étions présents, ou non, à ce que nous faisions.
Les études sur les indicateurs subjectifs de bien-être montrent que le plus important n’est pas le niveau de confort matériel en lui-même mais le niveau des inégalités: plus les inégalités sont fortes, plus le sentiment de mal-être sera fort.
Nous avons la chance de vivre une époque extrêmement riche et passionnante mais qui, plus que jamais, nécessite que nous ayons, sinon des repères ou des valeurs, du moins ce que l’on appelle dans les pratiques méditatives, une « intention ».
1- La détox digitale : que peut-on faire pour améliorer cette présence à notre vie ? Pourquoi nous affranchir, par exemple, des dépendances ?
2- Manger en pleine conscience : Est-ce que j’ai vraiment envie de manger ? Est-ce que j’ai vraiment besoin de manger ce qui m’est présenté ? Est-ce qu’il faut que je force mes amis, mes enfants à finir ce qui est dans leur assiette ?
3- Cultiver la gratitude, la générosité : chaque jour de notre vie, nous rappeler que tous nos bonheurs viennent de ce qui nous entoure. Aimez tout : la vie est belle ! Et donnez beaucoup : elle est encore plus belle lorsqu’on partage !
L’essence de la pleine conscience est véritablement universelle. Elle est davantage liée à la nature de l’esprit humain qu’à toute idéologie, croyance ou culture. La véritable pratique méditative est une façon d’être, pas une technique : c’est plus que se tenir assis, sur un coussin ou un tapis.
Dans la pratique de la pleine conscience, on entre en résistance avec la force de l’habitude et on travaille les muscles du calme, de la clarté mentale, du discernement.
La pleine conscience n’est pas une thérapie et certainement pas une psychothérapie, mais elle est thérapeutique.
Il est facile de ne pas entendre ce que d’autres sont en train de dire, en particulier si l’on n’a pas envie de l’entendre. C’est un phénomène très répandu parmi les leaders, ce qui crée un environnement de travail très toxique.
C’est d’une certaine manière se guérir d’une sorte d’aveuglement collectif, ce qui est tout à fait en lien avec les transformations à mener dans le monde. Suivez par ailleurs ce qui vous inspire, soyez créatif et incarnez votre vérité et amour instant après instant.
Se changer soi-même pour mieux changer le monde, c’est se libérer des toxines mentales que sont la haine, l’avidité, la jalousie, l’orgueil et l’esprit de vengeance qui empoisonnent notre existence et celle des autres.
Pour pouvoir changer le monde, il faut d’abord trouver un sens à son existence, puis essayer de le partager. On peut arracher les racines de la discrimination en apprenant l’altruisme aux enfants des écoles.
L’amour ne dure pas. Il est beaucoup plus éphémère que ce que la plupart d’entre nous veulent bien reconnaître. En revanche, il est indéfiniment renouvelable.
Ceux qui étaient les plus portés sur la consommation recherchaient davantage de plaisirs hédoniques et moins le bien-être véritable. C’est dans la simplicité que l’on trouve la sérénité intérieure.
Quand on change les mentalités, la façon dont nous sommes élevés, la façon dont nous pensons au jour le jour, et bien nous changeons notre cerveau grâce à la neuroplasticité et nous pouvons même modifier l’expression de nos gènes.
Bien avant notre propre avènement, la nature a créé les moyens de sa régulation et les moyens de sa perpétuation. « Si nous perdons le contact avec la nature dont nous faisons partie, alors nous perdons la relation avec l’humanité, avec les autres. » KRISHNAMURTI.
En prenant soin de la terre, on prend soin de l’humain, tout est relié. Si on schématise la situation, un cinquième de l’humanité consomme quatre cinquièmes des ressources planétaires. L’écologie sert à défendre la nature mais aussi la beauté de la nature.
Le changement global ne pourra venir que par le changement humain. Si l’être humain ne change pas, rien d’autre ne peut changer.
Je pense que la société civile est un vaste champ d’expérimentations d’intérêt général, la ou le politique s’obstine à maintenir à tout prix l’ancien modèle.
Nourrir l’espoir et s’intéresser au positif ne signifie pas avoir une vision idéalisée du monde ou ignorer les souffrances et les difficultés.
Nous ne sommes pas séparés ; prendre soin de la nature, des autres et de nous-mêmes, c’est prendre soin de la vie, c’est être à l’écoute des changements.
Chacun des choix que nous posons au quotidien compte et change le monde.
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