Sans attendre l’hypothétique consensus scientifique ni le réveil des élus, ni des médias, nous pouvons appliquer à nous-mêmes le principe de précaution en limitant notre exposition aux champs électromagnétiques.

Les cas d’intolérance aux champs électromagnétiques sont le mal de tête, trouble de sommeil, manifestations cutanées de type picotements, sensation de brulure, douleur dans les membres, vertige, perte de mémoire, tachycardie, sensation de fatigue intense sans raison apparente…

S’ÉLOIGNER DES SOURCES DE CHAMPS ÉLECTROMAGNÉTIQUES EST UN MOYEN EMPIRIQUE DE VOIR SI VOS SYMPTÔMES PEUVENT ÊTRE LIÉS AUX ONDES.

LA PHYSIQUE QUANTIQUE ET LES CHAMPS ÉLECTROMAGNÉTIQUES !

L’exposition prolongée aux radiofréquences est susceptible de provoquer une agitation cérébrale et notamment chez les sujets sensibles au rayonnement électromagnétique.

La physique quantique est née de l’incapacité des scientifiques (physiciens, astrophysiciens) à expliquer correctement les lois du rayonnement électromagnétique.

C’est là que Max Planck (physicien) considéré comme le père de la physique quantique émets les théories dites « quantiques » décrivent le comportement des atomes et des particules, ce que la physique classique, notamment la mécanique Newtonienne et les théories électromagnétiques de Maxwell, n’avaient pu faire, et permettent d’élucider certaines propriétés du rayonnement électromagnétique.

La puissance d’émission d’antennes-relais est limitée par la loi, conformément à une directive européenne, et est contrôlée par l’Agence nationale des fréquences (www.anfr.fr).

Les mesures collectées par celle-ci sont sujettes à caution voire très discutables quant à l’exposition des personnes vivant ou travaillant dans le périmètre à forte concentration d’antennes-relais ou d’ondes électromagnétiques.


Les antennes-relais et la forte exposition prolongée aux ondes électromagnétiques sont fichées comme des perturbateurs neurologiques.

Les perturbateurs neurologiques paraissent influer (ou “perturber”) le fonctionnement des neuromédiateurs ou neurotransmetteurs chimiques agissant dans le système nerveux central.

Ces perturbateurs créent une instabilité génétique et neuronale.

Cela s’accompagne d’un dérèglement des mécanismes génétiques et neuronaux fondamentaux du système nerveux central et autonome (neurovégétatif).

Le système nerveux central joue un rôle complexe et intervient dans diverses fonctions importantes, telles que le comportement, la cognition, les fonctions motrices, la motivation, les récompenses, le sommeil ou la mémorisation.


Quant au système nerveux autonome, il intervient dans les fonctions végétatives: respiration, digestion, métabolisme cellulaire, rythme cardiaque, éveil cérébral, sexualité…

Les perturbateurs neurologiques peuvent prendre le contrôle du cycle cellulaire, de la réplication ou de la réparation de l’ADN.

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